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Du  13 au 16 juin les comédiens français, africains et russes jouent en trois langues une belle histoire venue de la nuit des temps…

 

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http://www.nesekretno.ru/video/13212/Na_stike_kul_tur_rogdaetsy_bogatstvo

Bruno Thircuir

La fabrique des petites utopies

Niama-Niama : le secret des Arbres, version 11, 3 fevrier 2008 2

Tellement librement et joyeusement inspiré de la cosmogonie Dogon du

Mali, d’un conte de Tikan au Burkina-Faso, d’une histoire de la Mer des

caraïbes, d’une fable malgache, de légendes touaregs, d’un récit de

Mataco au Pérou et de milliers d’autres histoires.

J’écris ce conte pour nos enfants.

J’écris en volant les histoires que les peuples du monde

ont écrit depuis la nuit des temps.

J’écris pour l’enfant qui est en nous,

cet enfant sait que les histoires sont à tous,

et donc, que l’on ne peut pas les voler.

On peut les faire voler,

les faire voler du temps où elles ont été racontées la première fois,

à cette soirée fraîche en Afrique à Bobo-Dioulasso.

Un béninois, une congolaise, un Burkinabé,

une éthiopienne et quelques français racontent avec leurs corps,

leurs sons, avec des bouts de bois et des bidons de plastique,

avec des koras et des cithares, cette histoire.

Ce conte raconte ce que tous les contes racontent,

L’histoire des hommes, la véritable histoire des hommes.

Les scientifiques disent n’importe quoi,

Ils oublient que nous sommes les enfants du soleil et de la lune,

Ils ne croient pas que nous étions, au début du monde,

fleur-homme-animal à la fois,

Ils ne savent pas pourquoi nous nous rêvons oiseaux,

Ils ignorent le sens de la quête folle des hommes.

Heureusement, les arbres en connaissent le secret.

Bruno Thircuir.

Niama-Niama : Le secret des Arbres

Cette fable théâtrale a été présentée en chantier une première fois le samedi 11 novembre 2006 au Centre Djéliya à Bobo-Dioulasso et 7 ans plus tard elle est jouée par une trpoupe cosmopolite à Perm.

Tellement librement et joyeusement inspiré de la cosmogonie Dogon du Mali, d’un conte de Tikan au Burkina-Faso, d’une histoire de la Mer des

caraïbes, d’une fable malgache, de légendes touaregs, d’un récit de Mataco au Pérou et de milliers d’autres histoires.

J’écris ce conte pour nos enfants.

J’écris en volant les histoires que les peuples du monde

ont écrit depuis la nuit des temps.

J’écris pour l’enfant qui est en nous,

cet enfant sait que les histoires sont à tous,

et donc, que l’on ne peut pas les voler.

On peut les faire voler,

les faire voler du temps où elles ont été racontées la première fois,

à cette soirée fraîche en Afrique à Bobo-Dioulasso.

Un béninois, une congolaise, un Burkinabé,

une éthiopienne et quelques français racontent avec leurs corps,

leurs sons, avec des bouts de bois et des bidons de plastique,

avec des koras et des cithares, cette histoire.

Ce conte raconte ce que tous les contes racontent,

L’histoire des hommes, la véritable histoire des hommes.

Les scientifiques disent n’importe quoi,

Ils oublient que nous sommes les enfants du soleil et de la lune,

Ils ne croient pas que nous étions, au début du monde,

fleur-homme-animal à la fois,

Ils ne savent pas pourquoi nous nous rêvons oiseaux,

Ils ignorent le sens de la quête folle des hommes.

Heureusement, les arbres en connaissent le secret.

 

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